Tour organisé : départ de l'Office du Tourisme, passage dans le centre ville, Jaïn temple et ses miroiteries, Kali Temple au nord (sans intérêt).
Avant de traverser Vivekananda Bridge, un cadavre entre les rails sur la voie !
Puis Ramakhrisna mission et Botanical Garden (le banyan évidemment).
(note : le Great Banyan tree, ou Grand Banian, de Howrah est vieux de plus de 200 ans. C'est l'arbre au monde à la frondaison la plus étendue : plus de 130 m de diamètre !)
Great Banyan Tree, Jardin botanique, Howrah, Calcutta |
À midi, je récupère mon certificat à la BNP.
Problème avec l'absence de certificat choléra à Burma Airways.
Après-midi intéressante
Terrible rush à l'Indian Museum qui semble très riche : zoologie (toutes ces espèces empaillées), art (portrait de Bharhut). Salle du dessus (costumes, bijoux, retables birmans) à peine entrevue.
Nehru Museum : le Ramayana et le Mahabharata en petites poupées.
Victoria Memorial Hall, témoignage de la colonisation britannique. Préservé de façon surprenante, ce qui pourrait être vu comme d’infamantes preuves de l'époque colonialiste.
Zoological Garden. Les tigres blancs, gros chats fascinants. Le tigron (tigre + lionne) et le litigon uniques !
Avec Tazio. Quelques Limca de plus, puis St Paul's Cathedral, une communauté vivante.
Cathédrale Saint-Paul, Calcutta |
Mother Theresa Mission of Charity. Une longue rue éventrée, en travaux, boueuse, glissante et sombre. Rencontre d'un frère afin d'y déposer un don, et le courant qui ne passe pas trop bien. Deux mondes avec des aspirations, des joies différentes.
D’une manière générale, les bengalis sont à claquer. Fiers, snobs et bien bâtis, mais, du bas au haut de l’échelle, ni le sourire ni la simplicité. Plus racés qu’ailleurs en Inde, plus efficaces peut être aussi. Mais quelle froideur !
_____________________La carte de la journée_____________________
Tiens, c'est marrant, je n'ai pas souvenir de cette froideur des Bengalis. J'ai peut-être juste oublié, car j'ai tendance à oblitérer assez rapidement les côtés moins plaisants.
RépondreSupprimerBonjour Laurent. Tu as raison, il ne faut jamais stigmatiser une catégorie. Les bengalis sont sans doute fiers, notamment de leur culture (littérature, cinéma, musique…). Mais les propos rapportés dénotent surtout une certaine saturation à retrouver le chaudron indien, après un mois passé en altitude avec les népalais.
RépondreSupprimer